Il faut encadrer le jeune Jonathan Morrison, promoteur du Tchin-Tchin.

Nous avons été réveillés par un étonnant communiqué faisant état de la mise aux arrêts du jeune Jonathan Morrison, quand on s’est renseigné, il y aurait une affaire de plus de 19 millions qui l’opposerait à ses partenaires.

Nous ne venons pas par ces lignes prendre position de soutien, mais faire un constat et des propositions. Tout le monde voit que le jeune Morrison est débordé d’énergie, de projets, d’ambitions et de talent. Ses projets sont d’ordre à participer à la promotion du sport ivoirien, mais il n’est pas encadré et donc il semble aller dans tous les sens. Qui ne se rappelle pas du bruit de la première édition de Tchin-Tchin qui avait déplacé des personnalités et d’autres célébrités? 

Il faut qu’il accepte de se faire encadrer par des aînés qui pourront lui donner des conseils car il semble croire à des sponsors qui l’ont lâché au dernier moment, alors qu’ils lui ont donné toute l’assurance et la garantie de l’accompagner. 

Jonathan Morrison a besoin d’être encadré et il faut le faire tout en le rassurant que son projet lui appartient et qu’à la fin, il aura son gain, sinon, il va dans tous les sens et c’est l’image du pays qui prend un coup. Car aujourd’hui, parlez de lui et toute la toile s’empare du contenu.

Si des mécènes peuvent lui venir en aide, ces mêmes mécènes peuvent le raisonner et l’encadrer. Même la FIF ne peut pas promettre plus de 100 millions à des équipes structurées finalistes à des finales, cette somme est trop faramineuse. C’est du rêve.

Aujourd’hui grâce à lui, le Maracana a connu un essor national qui a pion sur rue que le vrai football, quand on en arrive à ce stade, on se fait entourer par des structures en management. Il faut l’approcher et lui donner des conseils de soutien et le convaincre qu’en tant que promoteur de ses idées, il en devient le gagnant sur tous les plans.

              Joël ETTIEN 

  Directeur de publication: businessactuality.com